La Salle des Profs

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L’utilisation des correspondances graphophonétiques est un des trois moyens pour encoder un mot (4.2.1). Le Référentiel et le Programme distinguent plusieurs types de correspondances graphophonétiques : les correspondances fréquentes (simples ou complexes) et les correspondances rares. Une correspondance simple fait correspondre un phonème à un graphème constitué d’une seule lettre, une correspondance complexe fait correspondre un phonème à un graphème constitué de plusieurs lettres. En P1-P2, c’est la maitrise des correspondances fréquentes qui est attendue. L’annexe 4 en dresse la liste (Vol.2, p.136).

En P3, la progression s’appuie sur le travail réalisé en P1-P2, le reprend et le poursuit par la découverte des correspondances rares. Voici quelques correspondances graphophonétiques rares : oeu, qu, ez, er, et, ain, eineau, ille, aille, in, aye, oye, w, x, ph, th, euil, ouille… En parallèle, dès la P3, un travail est mené sur les régularités orthographiques (annexe 3) et les graphèmes en concurrence (4.2.1 et 4.5.2).